Iris Gagnon-Paradis a rédigé un superbe article sur les nutricosmétiques dans l’édition du 6 juin 2013 de la section Pause Beauté de La Presse+.  Julie Radicioni, Présidente d’Inovacure, lui a accordé une entrevue et souligné la croissance de la demande des nutricosmétiques sur le marché nord-américain, et ce, bien que nous sommes assez loin derrière le marché mature de l’Asie –  le Japon étant le plus grand consommateur de nutricosmétiques. Dans cet article, on y explique que les nutricosmétiques sont la nouvelle génération de cosmétiques qui promettent d’agir de l’intérieur vers l’extérieur, en nourrissant les cellules du derme de micronutriments qui sont bons pour la santé de la peau et la croissance des cheveux, et qui se présentent sous forme de gélules, de pilules, d’infusions et de cocktails –  ce dernier étant la formule utilisée pour le premier nutricosmétique d’Inovacure, le Cocktail Vitalité.

Bien qu’il ne s’agisse pas d’ingestion d’aliments proprement dit, ces micronutriments en sont tout comme, puisqu’ils sont extraits en laboratoire à partir de compléments alimentaires (c’est-à-dire, les vitamines, les acides gras ou les minéraux). De là, ils sont considérés comme des aliments et sont ainsi approuvés par l’ACIA (Agence canadienne d’inspection des aliments), ce qui est le cas pour le Cocktail Vitalité d’Inovacure. Les composantes viennent donc cibler les problèmes spécifiques, comme la cellulite, le vieillissement de la peau, les ongles cassants, ou encore, agissent à titre préventif.

Par exemple, en vieillissant, notre corps ralentit sa production de collagène, la diminuant du tiers à partir de la cinquantaine, laissant ainsi place aux signes de vieillissement. Considérant que le collagène représente plus de 30 % de la teneur en protéines du corps humain, ce qui en fait la protéine la plus présente dans l’organisme – cette composante présente dans le Cocktail Vitalité vient stimuler les cellules du derme qui assurent le renouvellement du collagène.

Pour en apprendre davantage sur le sujet, nous vous invitons à lire l’article complet de La Presse+ au lien suivant.